Jérusalaime l'opéra.
Le syndrome de la fondation Vasarely aixoise ( à savoir : tu habites en face pendant deux ans ; pendant deux ans tu te dis qu'il faut que tu ailles la visiter et, finalement, tu reviens deux ans plus tard, exprès...) avait de nouveau frappé à Paris, avec l'Opéra (ouais sauf que, vous allez me dire, on y est restés pendant 10 ans, mais bon ce n'était pas vraiment prévu qu'on s'en aille !!). Pour ma part, grâce à l'école, j'avais quand même pu profiter un peu de l'Opéra de Paris. Bref, il était temps que SD découvre enfin ce qu'était l'Opéra, et lorsque notre voisine, pianiste, qui se fait fort de faire venir des opéras au théâtre de Jérusalem, nous a envoyé cette proposition, nous nous sommes dit qu'il était temps. Cette version modernisée du Barbier de Séville était une joyeuse occasion de se lancer.